Titreoriginal : Guardians of the galaxy vol.2 De : James Gunn Avec Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista, Bradley Cooper, Vin Diesel, Michael Rooker, Kurt Russel. Année : 2017 Pays : Etats-Unis Genre : SF, Space-Opera Scénario : James Gunn (d’après les comics Gardiens de la galaxie) Résumé : Les gardiens doivent se battre pour que leur nouvelle
Un film de James Gunn II Avec Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista, Vin Diesel, Bradley Cooper Action, Science fiction, Aventure - américain - 2h15 - Synopsis Musicalement accompagné de la "Awesome Mixtape n°2" la musique qu'écoute Star-Lord dans le film, Les Gardiens de la galaxie 2 poursuit les aventures de l'équipe alors qu'elle traverse les confins du cosmos. Les gardiens doivent combattre pour rester unis alors qu'ils découvrent les mystères de la filiation de Peter Quill. Les vieux ennemis vont devenir de nouveaux alliés et des personnages bien connus des fans de comics vont venir aider nos héros et continuer à étendre l'univers Marvel.
Bandeannonce Les Gardiens de la Galaxie 2 [2017] consultable en streaming grâce à la plateforme de vidéo Youtube. La vidéo a été référencée le 4 décembre 2016 dans notre encyclopédie.
L’expression ordinale Volume 2 » référence aux cassettes compilant des tubes des années 1980 qu’écoute en boucle Peter Quill alias Star-Lord, le mercenaire de l’espace est non seulement plutôt originale pour un film, mais bien appropriée ici. Ce nouvel épisode des aventures des Gardiens de la Galaxie » reconduit en effet les principes qui animaient le précédent avec un effet accru de compilation, d’accumulation où l’idée d’une suite scénaristique se trouve quelque peu sacrifiée. Sans surprise mais sans lassitude, on renoue avec les tribulations potaches d’une bande de misfits bagarreurs et peu compatibles avec la vie en société, beaucoup d’humour basé sur les ambiguïtés de communication et la difficulté de paraître entre les vacheries sur les surnoms et les commentaires abrupts sur les perceptions mutuelles, et une collection d’hommages à des icônes vintage plus ou moins muséalisées – ou ringardisées, c’est selon – d’il y a trente ans guetter les improbables caméos de Pac-Man et de David Hasselhoff…. La direction formelle est à l’avenant, surenchérissant là aussi sur le volume 1 », livrant une sorte de pendant filmique d’une borne de jeu d’arcade affectionnant les mêmes vieilles icônes l’espace – intersidéral comme cinématographique – est traité comme un plateau de flipper géant en trois dimensions où retournements de situations et scènes d’actions font ricocher personnages, objets et autres effets numériques dans tous les sens, jusqu’à une frénésie de cartoon gags visuels, pour le coup.Grandes lignes ou grand huitBien sûr, il y a de grandes lignes de scénario qui traversent ce terrain de jeu pour enfants pas sages. Pour résumer grossièrement les Gardiens sont poursuivis par des clients mécontents qui veulent rien moins que les exterminer ; et Peter Quill recroise la route de son père jusqu’alors inconnu, un extraterrestre aux pouvoirs divins dont les plans mégalomaniaques impliquent des destructions de planètes, et qu’en bon Œdipe il lui faudra vaincre le rôle du père offre d’ailleurs à Kurt Russell une étrange partition, l’ancien acteur fétiche de Carpenter composant une sorte de Starman passé du côté obscur. Mais à vrai dire, ces aventures pourtant propres à alimenter une saga, on ne s’y intéresse que distraitement, tant elles semblent ne devoir servir que de prétexte au défoulement ludique et geek qui motive tout le film. On est tenté de considérer cela comme une faiblesse, un manque de tenue, les approximations de l’écriture ne semblant pas compenser celles de la forme. On y verrait aussi un quasi-accident au regard de la logique de production habituellement mise en œuvre par Disney/Marvel Studios propriétaire de la franchise, plutôt portée sur le feuilleton, le développement d’un film à l’autre, la mythologie se montant brique par brique et étape par étape. Hormis de vagues mentions en arrière-plan d’un grand méchant nommé Thanos et de Pierres d’Infinité » connexion encore ténue avec l’autre franchise-phare de Marvel, Avengers, un cross-over imminent étant prévu, les aventures des Gardiens de la Galaxie ne semblent – pour l’instant ? – devoir prendre aucune place notable dans quelque récit au long cours, en tout cas pas dans le Marvel Cinematic Universe », et à peine plus de l’un à l’autre de ces deux épisodes qui semblent jalonner moins un feuilleton qu’une série de personnages en sérieMais est-ce une si grande faiblesse, après tout ? Le plaisir procuré par ce nouvel épisode ne vient certes pas d’aventures érigeant ses personnages au rang de héros de saga, mais du sel apporté par ces personnages mêmes, qui incite jusqu’à la mise en scène à jouer avec eux quitte à faire de certains des mascottes, comme Rocket le rongeur psychopathe ou Groot l’ancien colosse-arbre devenu minuscule et attendrissant. De cette galerie de créatures hautes en couleur, Volume 2 » laisse apprécier les retrouvailles avec les caractéristiques connues, mais aussi avec des changements plus discrets et intrigants. Ce ne sont pas vraiment des évolutions à partir de l’épisode précédent, mais plutôt des variations, des combinaisons nouvelles des traces de certaines émotions chez des personnages qui ne les laissaient pas forcément présager, des inflexions dans leurs interactions mutuelles. Et puis, dans une franchise déjà originellement plus marginale qu’Avengers, le film se lance dans une généreuse promotion des rôles secondaires poussés à se dresser à hauteur des protagonistes, qu’ils soient spécifiques à cet épisode comme Mantis, la servante intimidée pour qui le massif Drax le Destructeur éprouve une attirance… hors normes ou qu’ils soient apparus plus en retrait dans l’épisode précédent. On pense en particulier au rugueux Yondu à la peau bleue et à la fléchette agile second couteau du volume 1 », il prend ici une importance aussi décisive que réjouissante, se voyant même offrir des scènes toutes à sa gloire – et le sympathique acteur Michael Rooker d’honorer là, sans doute, son rôle le plus proéminent depuis… Henry, portrait d’un serial-killer en 1986 !Bon pour l’usineC’est que James Gunn réalisateur et scénariste adoubé par Marvel pour ce qui s’annonce comme une trilogie affiche de bout en bout une gourmandise de personnages plutôt que de narration. Il n’y a qu’à voir ses cinq scènes incluses dans le générique de fin, qui ne révèlent ni n’annoncent rien inhabituel chez Marvel, qui n’existent que pour prolonger le plaisir de fréquenter ce petit monde. Sans être épris de profondeur psychologique, Gunn transpire d’affection pour ses figures de misfits – qu’elles brillent ou soient prises en défaut – et surtout ne les laisse pas réduire à l’état de simples figurines à vendre au public, mettant en valeur les facettes hors normes, gentiment déviantes et quelque peu inadaptées à leur milieu de la plupart d’entre elles, et de leurs désirs pour certains Star-Lord le Terrien s’avérant cependant, sur ce point, le plus lisse du lot. Une telle générosité appartient sans doute au réalisateur, dont il ne faudrait pas mésestimer la position dans cette franchise. Mais elle s’inscrit aussi parfaitement dans la politique créatrice de Marvel Studios, cette usine à personnages qui propose certes des histoires, mais surtout cela reste la différence décisive entre le film de super-héros et le tout-venant du blockbuster hollywoodien des individualités pour les habiter et les susciter, auxquelles le spectateur peut s’intéresser pour y trouver des aspects plus ou moins stimulants. Quoi qu’on puisse reprocher à la routine industrielle qui transparaît parfois dans le fonctionnement de cette usine, cette mise de l’individualité au cœur de la fabrication de récits de cinéma comme de comics reste pour elle une richesse qu’on est heureux de retrouver. Ça tombe bien les aventures des Gardiens de la Galaxie affectionnent précisément cette richesse-là – même si on attend de voir ce qu’elle peut susciter encore.
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Abonnez-vous Après un premier volet qui a cartonné, les Pieds Nickelés de l’espace continuent de bousculer l’univers des superhéros avec cette suite encore plus déjantée, à voir ce soir sur TMC. © ©2016 MARVEL 1 SUPERZÉROS BIS On ne change pas une équipe qui gagne. Après le succès phénoménal, en 2014, du premier volet 772,8 millions de dollars de recettes dans le monde, les sales gosses de Marvel rempilent. Soit le Terrien Peter Quill, alias Star-Lord, toujours scotché à son Walkman, Gamora, la guerrière à la peau verte, Drax le Destructeur, Rocket, le raton laveur dingo de gros calibres, et bébé Groot, l’arbre humanoïde, recherchés par une souveraine despotique à qui l’incontrôlable raton a volé de précieuses batteries. Pas sûr que cette fois, ils parviennent à sauver l’univers de la UNE ICÔNE À L’AFFICHE Comme dans le premier volet, la famille est au centre de l’histoire. Ainsi, Peter Quill Chris Pratt découvre qu’il est le fils d’un dieu, baptisé Ego, qui se prend pour une planète… Il fallait bien la bouteille de Kurt Russell, mythique Snake Plissken dans New York 1997 et Los Angeles 2013, de John Carpenter, pour endosser ce rôle bien barré. Grand fan de l’acteur, Chris Pratt a soufflé son nom au réalisateur, James Gunn. "Quand j’ai su qu’il jouerait mon père, j’ai bondi de joie. Comme au poker, quand on vous distribue un as !"3 MIEUX QUE 007 S’inspirant des scènes d’introduction des films de James Bond, le long-métrage s’ouvre sur une délirante séquence dans laquelle les Gardiens affrontent une pieuvre géante, pendant que bébé Groot l’arbre est redevenu une jeune pousse se trémousse sur l’entêtant Mr. Blue Sky, d’Electric Light Orchestra. "C’est simple, cette scène a demandé deux ans de travail, précise le cinéaste. Parce qu’il y a beaucoup d’action en continu dans un espace gigantesque et qu’il y a énormément d’effets spéciaux, tout devait être réglé au millimètre." Un bijou d’anthologie, qui annonce le programme scènes d’action spectaculaires, folies visuelles, un humour mal élevé et, en prime, une bande originale d’enfer !4 POM’ D’AMOUR Avec ses yeux noirs démesurés et ses longues antennes d’insecte, impossible de louper Mantis, nouvelle venue dans l’équipe des Gardiens. Elle est incarnée par la Française Pom Klementieff. Elle était la radieuse éleveuse de rennes dans Loup, de Nicolas Vanier 2009. On la verra au côté de Tom Cruise dans Mission Impossible 7. Ici, elle est capable de ressentir les émotions de tous ceux qu’elle touche, même de déceler l’amour, voire de deviner vers qui cet amour est dirigé. Pom a été choisie parmi des dizaines de prétendantes. "Elle est à la fois extraterrestre et très humaine, drôle et grave, émouvante aussi", explique James Gunn, qui pense à développer son personnage dans le troisième volumeLes gardiens de la galaxie Vol. 2 lundi 19 octobre à 21h15 sur TMCIsabelle Magnier Brilleren solo ou se la jouer collectif ? Le deuxième volet de la saga intergalactique détricote avec malice le questionnement le plus contemporain qui soit. Des réseaux sociaux au Real Madrid. Retrouvez dans cette galerie des affiches, des images, des concept art… du film Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2. Affiches du film. Images du film.
Accompagnésde la compilation de Star-Lord “Awesome Mixtape n°2” à écouter en cas d’urgence ou pour se marrer, Les Gardiens de la Galaxie poursuivent leurs aventures jusqu’aux confins du cosmos. Dans cette suite, il
Accueil » Actualité » Les Gardiens de la Galaxie le premier teaser est arrivé par , le 20 octobre 2016 1200 Ça y est, la promotion des Gardiens de la Galaxie est lancée ! Marvel Studios vient de diffuser une affiche officielle, et en a profité pour présenter dans la foulée un premier teaser du y a un film de super-héros qui a rassemblé les fans et les non-fans, c’est bien Les Gardiens de la Galaxie. Le film a été un succès tel qu’une suite a été annoncée par Marvel Studios, peu après la sortie du premier volet. Ce second épisode est donc attendu de pied ferme et devrait être l’un des plus gros événements cinématographiques de 2017 avec Star Wars épisode VIII, bien entendu. Afin de nous faire patienter jusqu’à la sortie des Gardiens de la Galaxie 2, Marvel Studios vient de diffuser une toute première affiche du film, sur laquelle on retrouve une partie du casting original de gauche à droite Nebula, Xandu, Gamora, Star-Lord et Drax. Et pour l’anecdote, les couleurs de l’affiche ne sont pas sans rappeler un film lui aussi adapté d’un comic book Sin City.>> Les Gardiens de la Galaxie de la BD au ciné, histoire d’un grand écartDans le même temps, Marvel Studios vient également de diffuser une mini bande-annonce du film, dans laquelle on aperçoit tous les personnages précités, auxquels il faut ajouter l’inénarrable tandem Rocket Raccoon et Groot. La bande-annonce reprend tous les codes du premier volet musique, blagues, action virevoltante, enjeux cosmiques », tout y est. Notez que les nouvelles têtes que sont Mantis et Ego sont en revanche absente du poster et de la bande-annonce. Nul doute néanmoins que nous les découvrirons avant la sortie du film dans un nouveau Gardiens de la Galaxie sortira le 26 avril 2017 en France. Les Gardiens de la Galaxie vost Les Gardiens de la Galaxie vf XROtk.
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